Au fil de ces poèmes composés dans les années 1970, on retrouve les thèmes de
prédilection d'un jeune Paul Auster qui n'était pas encore romancier. Grâce à la
traduction limpide de Danièle Robert, poète elle-même, lire ces vers revient à
découvrir les bourgeons qui ont fleuri ensuite dans l'oeuvre que l'on connaît.