On retrouve ici l’atmosphère lourde, suave et crépusculaire de l’auteur de La
Chouette aveugle, alliant l’humour à la cruauté. La force de ces nouvelles tient
à l’absurde des situations et aux malentendus, à la manière avec laquelle les
personnages semblent courir, tête baissée, vers cet abîme qui donne son nom au
recueil.